Un réflexion sur le jugement envers les pratiques de bien-être

Il y a quelques jours, un adhérent a attiré mon attention sur une incohérence troublante, qui mérite une réflexion approfondie. Nous, praticiens du bien-être et du mieux-être, et au-delà, l'Association Santé Précieuse, nous engageons dans une démarche de respect, de bienveillance et de promotion d’un mieux-être durable et responsable. Pourtant, nous sommes régulièrement la cible de critiques infondées. On nous accuse de manipuler les personnes vulnérables ou, pire encore, de participer à des mouvements sectaires. Ces accusations sont non seulement injustes, mais elles masquent les intentions profondes de nos actions : accompagner, soulager et redonner espoir à ceux qui en ont le plus besoin.

Pendant ce temps, la société tolère, voire encourage, des pratiques bien plus destructrices pour la santé publique. Prenons l’exemple du tabac : des millions de cigarettes sont produites, commercialisées et consommées quotidiennement, au détriment de la santé collective. Les industriels du tabac, soutenus par des politiques permissives, continuent de prospérer grâce à des stratégies marketing agressives. Ces acteurs, à ciel ouvert, produisent et normalisent un mal avéré, motivés uniquement par des intérêts financiers.

Ce paradoxe soulève une question essentielle : pourquoi la société condamne-t-elle les démarches bienveillantes comme les nôtres, qui s’efforcent d’apporter du mieux-être, tout en fermant les yeux sur des industries dont les actions mettent en danger des millions de vies ? Ces pratiques destructrices, soutenues par un puissant lobby économique, ne mériteraient-elles pas d’être qualifiées de mouvements sectaires modernes, où l’intérêt financier prévaut sur l’éthique et la santé humaine ?

L’Association Santé Précieuse s’inscrit dans une dynamique de rupture avec ces incohérences. Nous défendons une vision où le respect de l’individu et de son bien-être prime sur toute autre considération. À travers nos actions, nos événements, et notre accompagnement, nous faisons le choix du mieux-être quotidien, en promouvant des pratiques responsables et alignées avec des valeurs humanistes.

Il est temps de poser les bonnes questions et de remettre en cause les priorités d’une société qui juge sévèrement les initiatives bienveillantes, tout en acceptant les véritables dangers qui, eux, restent sous nos yeux. Pourquoi stigmatiser les praticiens du bien-être, alors que les industries du mal – celles qui exploitent la santé humaine pour des profits financiers – continuent de prospérer sans la moindre remise en question ?

Cette réflexion est une invitation à dialoguer, à repenser nos valeurs collectives et à agir. Ensemble, nous pouvons promouvoir des choix de vie plus éthiques et respectueux, où la santé – physique, mentale et émotionnelle – occupe la place qu’elle mérite.